Le lait de vache contient trois fois plus de protéines que le lait humain, mais ces protéines sont des caséines très grosses par rapport aux caséines du lait humain, et où prédominent les albumines très indigestes.
Le lait de vache et le lait en pharmacie sont riches en béta-lactoglobulines allergisantes; celles-ci sont complètement absentes du lait humain.
Le lait de vache est plus chargé en lipides et trois fois plus chargé en minéraux; cette surcharge lipidique, protéique et minérale explique qu'après trois semaines seulement d'une alimentation au lait de vache, le nourrisson subit une hypertrophie du foie et des reins de 33%.
Quant au lait artificiel en boîte vendu en pharmacie, sa teneur en protéines est certes adaptée, mais ces protéines ont subi une température qui peuvent les rendre dangereuses (caramélisation, molécules de Maillard).
Les vitamines, dans les laits artificiels, sont de synthèse; les quantités minérales et vitaminiques sont fixées en fonction des connaissances biochimiques du moment, en perpétuel devenir: dans cinq ans, le même lait de la même marque aura-t-il la même composition?
Le lait de vache, conçu pour la croissance et le cerveau du veau, n'a pas la même composition que le lait humain, conçu par la nature pour le bébé humain.
Le cerveau du nourrisson triple de poids la première année.
Le lait humain par rapport au lait bovin, apporte quarante fois plus de taurine, acide aminé indispensable au développement cérébral; trois à quatre fois plus d'oméga 3, nécessaires au développement intellectuel et neuronal; il apporte des oligo-éléments nécessaires au développement cérébral. Le lait humain apporte du fer nécessaire au transport de l'oxygène vers le cerveau.
Or, 70% de fer du lait humain est absorbé, contre 10% de fer du lait de vache.
Le lait humain apporte trois fois plus de cholestérol que le lait de vache, indispensable au développement du cerveau.
Le lait humain, en fonction de la complexité cérébrale du bébé, contient cinquante sucres (gymolactoses) différents, alors que le cerveau du veau n'a besoin que d'un sucre, le lactose, contenu dans le lait de vache.
Un bébé soumis au lait de vache ou de pharmacie aurait quarante-neuf carences sucrées.
Enfin, le lait de maman apporte au bébé, des substances comme les neuro-peptides, des hormones et des substances messagères qui lui sont personnellement destinées.
(Voir Robert Masson, Précis de pédiatrie naturopathique)
mercredi 12 décembre 2007
Les bienfaits de l'allaitement
Nous sommes, il faut bien l'avouer, dirigés par les multinationales.
Celles-ci ont le pouvoir incroyable de faire croire que leurs produits sont les meilleurs de tous et même meilleurs que la nature elle-même.
Voyez par exemple, que d'après certaines publicités Coca-cola, les performances des sportifs se voient nettement améliorées après l'ingestion d'un canette.
Nous en sommes même arrivés à croire que le lait de nos mères était moins bon que le lait de synthèse.
Pourtant, les naturopathes, toutes écoles confondues, ont de tout temps défendu l'idée que rien ne peut rivaliser avec le lait maternel (si celui-ci est sain).
Nous ne connaissons même pas un centième des vertus du lait maternel à l'heure actuelle, mais le peu de savoir que nous avons en notre possession ne devrait jamais nous faire hésiter quant au choix à accomplir.
Au point de vue immunitaire, la supériorité est nette car le colostrum ou "premier lait" est riche en interféron, puissant agent antiviral, inexistant dans le lait de vache.
Le lysozyme, qui assure l'antisepsie physiologique du tube digestif, et de l'organisme en général, est cinq mille fois plus élevé dans le lait humain; par rapport au lait de vache, il faudrait quinze ans d'allaitement artificiel pour équivaloir à un jour d'allaitement au sein.
Les immunoglobulines (anticorps) sont absentes des laits en boîte et du lait de vache, indispensables aux bébés car leur immunité commence seulement à s'élaborer vers les six mois et acquièrent une immunité totale vers cinq ans.
Le facteur bifidus est absent du lait artificiel mais est présent dans le lait humain, permettant la constitution d'une flore intestinale à PH 5, interdisant l'implantation virale ou bactérienne pathogène.
Le lait humain contient une cinquantaine de gynolactoses, qui sont des sucres simples. Les sucres simples ou oligosaccharides n'existent pas dans le lait de vache. Or, ils ressemblent aux sites de fixation intestinaux sur lesquels se fixent les bactéries. Celles-ci, trompées et piégées, se fixent sur les oligosaccharides et deviennent des complexes inoffensifs.
Les oligosaccharides sont absents du lait de vache et des laits artificiels.
Les alkylglycérols, présents en quantité dix fois plus importante dans le lait humain par rapport au lait artificiel et au lait de vache, sont nécessaires à l'activité des "natural killers", leucocytes spécialisés dans le contrôle cellulaire et la lutte contre le cancer.
L'alpha-linolénique, acide gras oméga 3, est trois à quatre fois supérieur dans le lait humain par rapport au lait de vache.
Les laits en pharmacie sont supplémentés en oméga 3, mais ces derniers ont subi l'action de la température et sont, de ce fait, peu utilisables d'un point de vue neuronal; ils n'entrent pas parfaitement dans la construction des membranes cellulaires.
L'enfant nourri au sein a un lait à température constante du début à la fin de la tétée; l'enfant qui boit lentement nourri au biberon, reçoit au début de la tétée un lait trop chaud et vers la fin, un lait presque froid. Cette douche écossaise de l'estomac, ce choc thermique, quatre à six fois par jour, génère une chute du système immunitaire.
Le sein est producteur d'anticorps spécifiques d'une infection car, si malgré l'allaitement au sein, une infection survenait, la salive de l'enfant (porteuse du virus ou de la bactérie responsable) déclenche au contact du mamelon, la production par le sein d'anticorps spécifiques de l'infection.
Que fait dans ce cas, la tétine en caoutchouc?
(Voir Robert Masson, Précis de pédiatrie naturopathique)
Celles-ci ont le pouvoir incroyable de faire croire que leurs produits sont les meilleurs de tous et même meilleurs que la nature elle-même.
Voyez par exemple, que d'après certaines publicités Coca-cola, les performances des sportifs se voient nettement améliorées après l'ingestion d'un canette.
Nous en sommes même arrivés à croire que le lait de nos mères était moins bon que le lait de synthèse.
Pourtant, les naturopathes, toutes écoles confondues, ont de tout temps défendu l'idée que rien ne peut rivaliser avec le lait maternel (si celui-ci est sain).
Nous ne connaissons même pas un centième des vertus du lait maternel à l'heure actuelle, mais le peu de savoir que nous avons en notre possession ne devrait jamais nous faire hésiter quant au choix à accomplir.
Au point de vue immunitaire, la supériorité est nette car le colostrum ou "premier lait" est riche en interféron, puissant agent antiviral, inexistant dans le lait de vache.
Le lysozyme, qui assure l'antisepsie physiologique du tube digestif, et de l'organisme en général, est cinq mille fois plus élevé dans le lait humain; par rapport au lait de vache, il faudrait quinze ans d'allaitement artificiel pour équivaloir à un jour d'allaitement au sein.
Les immunoglobulines (anticorps) sont absentes des laits en boîte et du lait de vache, indispensables aux bébés car leur immunité commence seulement à s'élaborer vers les six mois et acquièrent une immunité totale vers cinq ans.
Le facteur bifidus est absent du lait artificiel mais est présent dans le lait humain, permettant la constitution d'une flore intestinale à PH 5, interdisant l'implantation virale ou bactérienne pathogène.
Le lait humain contient une cinquantaine de gynolactoses, qui sont des sucres simples. Les sucres simples ou oligosaccharides n'existent pas dans le lait de vache. Or, ils ressemblent aux sites de fixation intestinaux sur lesquels se fixent les bactéries. Celles-ci, trompées et piégées, se fixent sur les oligosaccharides et deviennent des complexes inoffensifs.
Les oligosaccharides sont absents du lait de vache et des laits artificiels.
Les alkylglycérols, présents en quantité dix fois plus importante dans le lait humain par rapport au lait artificiel et au lait de vache, sont nécessaires à l'activité des "natural killers", leucocytes spécialisés dans le contrôle cellulaire et la lutte contre le cancer.
L'alpha-linolénique, acide gras oméga 3, est trois à quatre fois supérieur dans le lait humain par rapport au lait de vache.
Les laits en pharmacie sont supplémentés en oméga 3, mais ces derniers ont subi l'action de la température et sont, de ce fait, peu utilisables d'un point de vue neuronal; ils n'entrent pas parfaitement dans la construction des membranes cellulaires.
L'enfant nourri au sein a un lait à température constante du début à la fin de la tétée; l'enfant qui boit lentement nourri au biberon, reçoit au début de la tétée un lait trop chaud et vers la fin, un lait presque froid. Cette douche écossaise de l'estomac, ce choc thermique, quatre à six fois par jour, génère une chute du système immunitaire.
Le sein est producteur d'anticorps spécifiques d'une infection car, si malgré l'allaitement au sein, une infection survenait, la salive de l'enfant (porteuse du virus ou de la bactérie responsable) déclenche au contact du mamelon, la production par le sein d'anticorps spécifiques de l'infection.
Que fait dans ce cas, la tétine en caoutchouc?
(Voir Robert Masson, Précis de pédiatrie naturopathique)
mardi 11 décembre 2007
La voiture, plus importante que l'enfant. Impossible, dites-vous?
Lors de l'achat d'une nouvelle voiture, on ne veut surtout pas se tromper; on fera d'abord une bonne sélection concernant les différents choix de marques et de modèles, sur base de revues spécialisées qu'on aura au préalable acquises en librairie.
Ensuite, on se mettra à récolter des infos à gauche et à droite, venant d'amis ou de personnes possédant la marque, voire le modèle de la voiture sur laquelle on a jeté son dévolu.
Puis, on attendra avec impatience le week-end pour pouvoir effectuer le tour des concessionnaires de la région ou même de régions avoisinantes et pouvoir ainsi toucher, regarder, sentir notre tant attendue voiture.
Là, dans le show-room, le mari dira sûrement à sa femme, "dans celle-ci, interdiction de fumer!"
Peut-être aussi, si le moment est propice, on s'offrira une journée dans un salon de l'auto afin d'obtenir les meilleures conditions et le plus grand choix d'options.
Enfin, le soir venu, on fera des calculs savants pour savoir si oui ou non, on pourra assumer les dépenses qu'amène l'acquisition d'une si jolie voiture.
On n'oubliera pas d'inclure dans la somme obtenue, la location de sa petite chambre, le garage, de peur qu'elle puisse "attraper froid", qu'on puisse nous la détériorer ou pire encore, qu'on puisse nous la voler.
Puis viendra le jour tant espéré, la voilà enfin notre voiture!
On s'empressera de faire un tour avec elle, de la montrer à tout le monde pour que nos connaissances puissent s'extasier devant sa beauté, qui fera notre joie et notre fierté, la preuve vivante "nous aussi, on a réussi dans la vie".
Vite, la voiture a soif, il faut s'arrêter à la station essence. Mais attention, ne la remplissons pas avec n'importe quel type d'essence ou de diesel; son moteur si fragile risquerait de s'encrasser.
Ensuite, on décidera du meilleur garage où elle pourra bénéficier des meilleurs entretiens.
Plus tard, de notre amour profond naîtra un enfant. Nul doute, on fera de très bons parents!
Bien sûr, on pourra investir dans des revues spécialisées qui traitent de la meilleure façon de préparer la grossesse et la naissance. Mais le problème, c'est que de toutes ces choses savantes décrites dans ce type de revues, bien peu sont familières et compréhensibles. Et puis, vous savez, ces "spécialistes" ne sont jamais d'accord l'un avec l'autre: une revue dira une chose, l'autre dira autre chose; alors, à quoi sert d'investir de l'argent là dedans et de se triturer les méninges, on est pas médecin!
Lors de conversations entre amis, qui ont déjà eu des enfants, on entendra leurs conseils, mais peu importe, ils ne savent pas de quoi ils parlent, ils ne sont pas diplômés et donc ils ne peuvent pas se permettre de nous donner des conseils; on sait, nous!
Les week-ends, on ne les passera certainement pas à visiter des centres qui offrent des possibilités d'accouchements plus humains et plus naturels; surtout pas! On ne sait jamais que ce que l'on y entendra se révèle intelligent! Et que, finalement, si on y adhère, que cela ne nous fasse perdre de l'argent! "Tout ça, ça coûte cher!".
"Mon mari me demande d'arrêter de fumer, mais qu'il commence par le faire lui-même, il m'a déjà interdit de fumer dans la voiture, alors, maintenant, ça suffit! Et puis, quelques cigarettes ne peuvent pas faire de mal au bébé, ma mère a bien fumé pendant sa grossesse et je ne suis pas plus malade qu'une autre!".
Il y a bien des événements intéressants comme les salons sur l'enfant et la naissance, "cela est sûrement très bien mais c'est un peu trop loin, et puis quinze euros pour y entrer, ce n'est pas donné!"
On ne calcule jamais pour notre enfant, ce n'est pas un problème de l'élever avec des produits de mauvaise qualité, son moteur à lui ne risque pas de s'endommager, il est résistant. Et quand bien même, "on a notre docteur, et pas n'importe qui, un généraliste allopathe, pas un généraliste homéopathe ou un pédiatre homéopathe, ou encore un ostéopathe; tout ça, ce n'est pas remboursé! On a des dépenses bien plus importantes, on meurt d'envie d'acheter un bel écran plasma pour Noël et d'aller en Espagne à la fin de l'année. Mais avant de partir, on ne devra pas oublier de faire le vaccin du petit pour qu'il ne tombe pas malade lors de notre séjour.
Car nous, on est des bons parents!"
Ensuite, on se mettra à récolter des infos à gauche et à droite, venant d'amis ou de personnes possédant la marque, voire le modèle de la voiture sur laquelle on a jeté son dévolu.
Puis, on attendra avec impatience le week-end pour pouvoir effectuer le tour des concessionnaires de la région ou même de régions avoisinantes et pouvoir ainsi toucher, regarder, sentir notre tant attendue voiture.
Là, dans le show-room, le mari dira sûrement à sa femme, "dans celle-ci, interdiction de fumer!"
Peut-être aussi, si le moment est propice, on s'offrira une journée dans un salon de l'auto afin d'obtenir les meilleures conditions et le plus grand choix d'options.
Enfin, le soir venu, on fera des calculs savants pour savoir si oui ou non, on pourra assumer les dépenses qu'amène l'acquisition d'une si jolie voiture.
On n'oubliera pas d'inclure dans la somme obtenue, la location de sa petite chambre, le garage, de peur qu'elle puisse "attraper froid", qu'on puisse nous la détériorer ou pire encore, qu'on puisse nous la voler.
Puis viendra le jour tant espéré, la voilà enfin notre voiture!
On s'empressera de faire un tour avec elle, de la montrer à tout le monde pour que nos connaissances puissent s'extasier devant sa beauté, qui fera notre joie et notre fierté, la preuve vivante "nous aussi, on a réussi dans la vie".
Vite, la voiture a soif, il faut s'arrêter à la station essence. Mais attention, ne la remplissons pas avec n'importe quel type d'essence ou de diesel; son moteur si fragile risquerait de s'encrasser.
Ensuite, on décidera du meilleur garage où elle pourra bénéficier des meilleurs entretiens.
Plus tard, de notre amour profond naîtra un enfant. Nul doute, on fera de très bons parents!
Bien sûr, on pourra investir dans des revues spécialisées qui traitent de la meilleure façon de préparer la grossesse et la naissance. Mais le problème, c'est que de toutes ces choses savantes décrites dans ce type de revues, bien peu sont familières et compréhensibles. Et puis, vous savez, ces "spécialistes" ne sont jamais d'accord l'un avec l'autre: une revue dira une chose, l'autre dira autre chose; alors, à quoi sert d'investir de l'argent là dedans et de se triturer les méninges, on est pas médecin!
Lors de conversations entre amis, qui ont déjà eu des enfants, on entendra leurs conseils, mais peu importe, ils ne savent pas de quoi ils parlent, ils ne sont pas diplômés et donc ils ne peuvent pas se permettre de nous donner des conseils; on sait, nous!
Les week-ends, on ne les passera certainement pas à visiter des centres qui offrent des possibilités d'accouchements plus humains et plus naturels; surtout pas! On ne sait jamais que ce que l'on y entendra se révèle intelligent! Et que, finalement, si on y adhère, que cela ne nous fasse perdre de l'argent! "Tout ça, ça coûte cher!".
"Mon mari me demande d'arrêter de fumer, mais qu'il commence par le faire lui-même, il m'a déjà interdit de fumer dans la voiture, alors, maintenant, ça suffit! Et puis, quelques cigarettes ne peuvent pas faire de mal au bébé, ma mère a bien fumé pendant sa grossesse et je ne suis pas plus malade qu'une autre!".
Il y a bien des événements intéressants comme les salons sur l'enfant et la naissance, "cela est sûrement très bien mais c'est un peu trop loin, et puis quinze euros pour y entrer, ce n'est pas donné!"
On ne calcule jamais pour notre enfant, ce n'est pas un problème de l'élever avec des produits de mauvaise qualité, son moteur à lui ne risque pas de s'endommager, il est résistant. Et quand bien même, "on a notre docteur, et pas n'importe qui, un généraliste allopathe, pas un généraliste homéopathe ou un pédiatre homéopathe, ou encore un ostéopathe; tout ça, ce n'est pas remboursé! On a des dépenses bien plus importantes, on meurt d'envie d'acheter un bel écran plasma pour Noël et d'aller en Espagne à la fin de l'année. Mais avant de partir, on ne devra pas oublier de faire le vaccin du petit pour qu'il ne tombe pas malade lors de notre séjour.
Car nous, on est des bons parents!"
Que ton aliment soit ton médicament - témoignage de l'auteur
Il y a quelques années, je vivais un stress professionnel et affectif intense; je ne dormais jamais à des heures régulières, ni convenables, et j'avais une tendance à manger n'importe quoi, en n'importe quelle quantité et n'importe quand.
Un jour j'ai fini par déclencher une série de troubles très variables: troubles de l'équilibre, douleurs dans la poitrine, douleurs dans le dos, essoufflements, crises d'angoisse, douleurs musculaires et osseuses, acouphènes, insomnies, palpitations, tremblements et fatigue chronique.
Submergé par tant de douleur à la fois, j'ai fini par m'en remettre entre les mains de ceux qui "savent", c'est-à-dire les spécialistes en tout genre, allopathes ou issus des médecines non-conventionnelles.
Force a été de constater que personne n'a pu obtenir de résultat probant.
J'ai été étiqueté tour à tour de spasmophile, grand nerveux et même de fibromyalgique.
Bref, les verdicts sont tombés et tous s'accordaient en un point, j'étais à leurs yeux un grand angoissé et le problème devait certainement venir de là.
Me voilà donc à la case départ, avec sur les bras des douleurs et des sensations de plus en plus difficiles à supporter, ainsi que des traitements coûteux qui n'apportaient pas de réel soulagement.
Jusqu'au jour béni où, enfin, je me suis décidé à faire un jeûne prolongé; j'ai effectué celui-ci et, de façon surprenante, au bout de trois jours, mes crises avaient disparu!
Fort de ce succès, j'ai décidé de prolonger mon jeûne hydrique pendant encore cinq jours, ensuite je me suis remis progressivement à consommer des jus de légumes spécifiques à mes troubles et à m'alimenter de manière équilibrée.
Depuis lors, mes troubles ne sont jamais réapparus.
Coïncidence? Je ne le pense pas car j'ai pu observer d'autres caractéristiques changer au fur et à mesure de cette nouvelle façon de m'alimenter.
Comme, une amélioration de l'état de ma peau et un net rééquilibrage psychologique.
J'ai pu remarquer ce même type de changement sur mes patients et même sur des amis qui au départ ne croyaient pas du tout au pouvoir guérisseur de l'aliment et qui ont fini par être plus intransigeants en matière de diététique que moi-même!
Par Dominique Molle
Un jour j'ai fini par déclencher une série de troubles très variables: troubles de l'équilibre, douleurs dans la poitrine, douleurs dans le dos, essoufflements, crises d'angoisse, douleurs musculaires et osseuses, acouphènes, insomnies, palpitations, tremblements et fatigue chronique.
Submergé par tant de douleur à la fois, j'ai fini par m'en remettre entre les mains de ceux qui "savent", c'est-à-dire les spécialistes en tout genre, allopathes ou issus des médecines non-conventionnelles.
Force a été de constater que personne n'a pu obtenir de résultat probant.
J'ai été étiqueté tour à tour de spasmophile, grand nerveux et même de fibromyalgique.
Bref, les verdicts sont tombés et tous s'accordaient en un point, j'étais à leurs yeux un grand angoissé et le problème devait certainement venir de là.
Me voilà donc à la case départ, avec sur les bras des douleurs et des sensations de plus en plus difficiles à supporter, ainsi que des traitements coûteux qui n'apportaient pas de réel soulagement.
Jusqu'au jour béni où, enfin, je me suis décidé à faire un jeûne prolongé; j'ai effectué celui-ci et, de façon surprenante, au bout de trois jours, mes crises avaient disparu!
Fort de ce succès, j'ai décidé de prolonger mon jeûne hydrique pendant encore cinq jours, ensuite je me suis remis progressivement à consommer des jus de légumes spécifiques à mes troubles et à m'alimenter de manière équilibrée.
Depuis lors, mes troubles ne sont jamais réapparus.
Coïncidence? Je ne le pense pas car j'ai pu observer d'autres caractéristiques changer au fur et à mesure de cette nouvelle façon de m'alimenter.
Comme, une amélioration de l'état de ma peau et un net rééquilibrage psychologique.
J'ai pu remarquer ce même type de changement sur mes patients et même sur des amis qui au départ ne croyaient pas du tout au pouvoir guérisseur de l'aliment et qui ont fini par être plus intransigeants en matière de diététique que moi-même!
Par Dominique Molle
La nutrition, le sujet qui fâche
Certains sujets sont sensibles et peuvent provoquer des tensions, en un temps record, au cours d'une conversation qui, jusque là, était courtoise.
Il est vrai que la politique ou la religion sont les sujets qui amènent le plus souvent des discussions animées. Mais, de façon surprenante, la nutrition suscite énormément de réactions vives lorsqu'on en parle.
Il ne serait pas étonnant, que si nous organisions un micro-trottoir et que notre question ait été "pensez-vous vous nourrir correctement au quotidien?", la majorité répondrait par l'affirmative.
Pourtant, les rapports d'experts le montrent, indéniablement, les gens mangent de plus en plus mal. Alors que, au quotidien, ils refusent de l'admettre.
Pourquoi cette négation?
Nous pouvons envisager différentes réponses, l'une d'entre elles est que le syndrôme de la "malbouffe" est le plus souvent lié à la précarité.
Lorsque nous parlons de mauvaise alimentation, nous entendons l'assimilation de mauvaises graisses, d'excitants en tous genres, de viande de mauvaise qualité, ou de mauvaises combinaisons alimentaires, mais aussi, et surtout, d'une alimentation non biologique, gorgée de pesticides et d'autres produits chimiques.
Ainsi, les fast-food proposent de manger vite, en quantité et pour des sommes "dérisoires".
Cela évidemment au détriment de la qualité nutritionnelle.
Serait-ce alors pour cette raison, par peur de paraître pauvres, que la plupart des gens refusent d'admettre la mauvaise qualité de leur alimentation quotidienne?
Possible, mais nous pourrions encore refléchir sur une autre raison, bien plus profonde: lorsque l'enfant est dans le ventre de sa mère, celui-ci ressent ce qu'elle ressent, absorbe ce qu'elle mange, ... Alimentation et émotion ne font plus qu'un.
Plus tard, à sa naissance, l'enfant, s'il a de la chance, se nourrira du lait de sa mère, qui dépend essentiellement de l'alimenation de celle-ci. Ensuite, en grandissant, il mangera ce que sa maman lui donnera, et c'est ainsi que les goûts alimentaires de l'enfant se bâtiront: ils seront liés à la mère.
Dès lors, il est facile de s'imaginer ce qui peut se produire à un niveau inconscient lorsqu'un thérapeute affirme que vous mangez mal. Implicitement, il est en train de remettre en question la relation, et donc l'attachement, à la mère.
Cela, pour beaucoup de nos contemporains, est encore difficile à comprendre et à gérer.
Il est vrai que la politique ou la religion sont les sujets qui amènent le plus souvent des discussions animées. Mais, de façon surprenante, la nutrition suscite énormément de réactions vives lorsqu'on en parle.
Il ne serait pas étonnant, que si nous organisions un micro-trottoir et que notre question ait été "pensez-vous vous nourrir correctement au quotidien?", la majorité répondrait par l'affirmative.
Pourtant, les rapports d'experts le montrent, indéniablement, les gens mangent de plus en plus mal. Alors que, au quotidien, ils refusent de l'admettre.
Pourquoi cette négation?
Nous pouvons envisager différentes réponses, l'une d'entre elles est que le syndrôme de la "malbouffe" est le plus souvent lié à la précarité.
Lorsque nous parlons de mauvaise alimentation, nous entendons l'assimilation de mauvaises graisses, d'excitants en tous genres, de viande de mauvaise qualité, ou de mauvaises combinaisons alimentaires, mais aussi, et surtout, d'une alimentation non biologique, gorgée de pesticides et d'autres produits chimiques.
Ainsi, les fast-food proposent de manger vite, en quantité et pour des sommes "dérisoires".
Cela évidemment au détriment de la qualité nutritionnelle.
Serait-ce alors pour cette raison, par peur de paraître pauvres, que la plupart des gens refusent d'admettre la mauvaise qualité de leur alimentation quotidienne?
Possible, mais nous pourrions encore refléchir sur une autre raison, bien plus profonde: lorsque l'enfant est dans le ventre de sa mère, celui-ci ressent ce qu'elle ressent, absorbe ce qu'elle mange, ... Alimentation et émotion ne font plus qu'un.
Plus tard, à sa naissance, l'enfant, s'il a de la chance, se nourrira du lait de sa mère, qui dépend essentiellement de l'alimenation de celle-ci. Ensuite, en grandissant, il mangera ce que sa maman lui donnera, et c'est ainsi que les goûts alimentaires de l'enfant se bâtiront: ils seront liés à la mère.
Dès lors, il est facile de s'imaginer ce qui peut se produire à un niveau inconscient lorsqu'un thérapeute affirme que vous mangez mal. Implicitement, il est en train de remettre en question la relation, et donc l'attachement, à la mère.
Cela, pour beaucoup de nos contemporains, est encore difficile à comprendre et à gérer.
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